Une extraordinaire révolution serait-elle en marche ?
décembre 2014
L’histoire de l’humanité a été régulièrement bouleversée par des changements soudains de paradigmes, ces représentations, ces modèles qui à une époque donnée, finissent pas être admis comme références incontestables. L’un des plus célèbres changements de paradigme fut certainement provoqué par Copernic quand il affirma au début du XVIe siècle, avec sa présentation du modèle héliocentrique, que ce n’était pas la Terre qui était au centre de l’univers, mais le Soleil. Depuis, il y eut bien d’autres changements, puisque le paradigme actuel concernant le Soleil et son cortège de planètes, système très ordinaire, le place au bord de la Voie lactée, laquelle n’est somme toute qu’une galaxie très quelconque parmi des milliards d’autres.
Cependant les paradigmes, mêmes obsolètes, ont la vie dure. Ainsi dans un article récent de la revue Ciel et Espace (mars 2014 – p.54) relatant les résultats d’une enquête effectuée en Belgique sur une population de 3200 personnes – on peut sans doute considérer que l’on obtiendrait sensiblement les mêmes résultats dans un autre pays européen – 28% des personnes interrogées pensent toujours que la Terre est le centre du système solaire, et 22% (comme Copernic) que la Terre est le centre de l’univers.
Parfois les choses sont plus subtiles. Pendant des siècles, les avis ont été partagés pour savoir lequel du cœur ou du cerveau était le centre de l’être. Parfois, le cerveau fut considéré comme un simple système permettant le refroidissement du sang venant du cœur, l’organe noble ! Cependant, il semble indéniable que la littérature, la poésie, les arts, ont toujours considéré le cœur comme le centre des émotions, des sentiments et de l’amour. Néanmoins, depuis le XIXe siècle, le cœur n’est qu’une pompe et le cerveau est bien l’organe central de l’être humain. Mais, je continue pourtant de dire à celle que j’aime : « mon cœur » et non « mon cerveau » !
Il est facile de continuer ainsi sur les questions provoquées par les changements de paradigmes, les révolutions scientifiques du début du XXe siècle en fourmillent ne serait-ce qu’avec les prodigieux changements de visions du monde provoqués par la relativité restreinte ou générale, comme par la mécanique quantique sur laquelle reposent, entre autres choses, toutes les nouvelles technologies actuelles, des téléviseurs à nos smartphones.
Tous les paradigmes ont donc une caractéristique essentielle, celle de provoquer des changements considérables au sein de la connaissance comme dans les mentalités ou les consciences. Ils sont toujours jugés au départ par une majorité plus ou moins importante comme irréalistes, incohérents, en un mot impossibles. C’est qu’ils véhiculent des idées si nouvelles, des concepts si difficiles à admettre, qu’on les prend souvent comme des visions délirantes. La liste est longue. Donc, des hommes ont été conduits sur le bûcher parce qu’ils prétendaient que la Terre tournait autour du Soleil, certains n’ont jamais pu admettre la parenté entre les hommes et les grands singes, d’autres ont mis du temps à accepter que les Amériques, l’Europe, l’Asie et l’Afrique ne formaient à l’origine qu’un seul continent, et Alfred Wegener eut quelques difficultés à faire émerger sa théorie de la dérive des continents publiée en 1912, base actuelle de la théorie de la tectonique des plaques continentales, reconnue par tous les scientifiques.
On sait que : « La Terre n’est pas le centre du système solaire. » « La Terre n’est pas le centre de l’univers. »
Aujourd’hui, on s’interroge sur l’existence de la vie sur certaines exoplanètes : Alors, sommes-nous en train de vivre l’apparition prochaine d’un nouveau paradigme ? « La Terre n’est pas le seul endroit dans tout l’univers où la vie existe. » Plus fort : « La Terre n’est pas le seul endroit dans tout l’univers où des êtres conscients d’eux-mêmes existent. » Encore plus fort, au risque de mettre à mal le paradoxe de Fermi : « Des êtres conscients d’eux-mêmes existent partout dans l’univers, sur des milliards d’exoplanètes répandues dans toutes les galaxies. »
Peut-on considérer que l’apparition d’un nouveau paradigme pourrait être précédée d’un bouillonnement d’idées paradoxales ? Pourrait-il se signaler par un bouillonnement de contradictions, d’incohérences, par tout un ensemble d’hypothèses, de réflexions, de réelles observations ou de spéculations uniquement théoriques, dans lequel il faudrait mettre de l’ordre parce que tout n’est pas possible ?
Il se trouve, qu’à ce sujet, différents articles scientifiques récents m’ont particulièrement intrigué.
Dans un premier article de la revue Pour la science (août 2014 – p.90), intitulé « Combien y a-t-il de planètes dans la Voie lactée ? », Arnaud Cassan (Institut d’astrophysique de Paris – Université Pierre et Marie Curie) fait remarquer :
« … fin mai 2014 le nombre d’exoplanètes découvertes dans notre galaxie et dans un environnement relativement proche du système solaire (1000 années lumière) est d’environ 1800. … L’hypothèse basse serait qu’au moins une étoile sur deux de type solaire abriterait une planète (2011 – Michel Mayor, astronome suisse, découvreur des toutes premières exoplanètes). En 2012, Xavier Bonfils, université de Grenoble, estime que 64 milliards de super-terres sont en orbite dans la zone habitable d’étoile de type naine rouge, c’est-à-dire situées à une distance de leur étoile où l’eau peut exister sous forme liquide favorisant l’émergence de la vie… ces valeurs sont des minimums… qu’en est-il du maximum ? La Galaxie abriterait pas moins de 2000 milliards d’exoplanètes ! La vie s’est-elle développée ailleurs que sur Terre ? La réponse est encore hors de portée. Mais avec la découverte récente que la présence de planètes autour d’une étoile est la règle plutôt que l’exception, les chances que certains de ces mondes lointains soient habitables, voire habités, ne semblent pas nulles… »
Evidemment, il y a d’un côté les exoplanètes habitables, comparables à la Terre ou celles un peu plus imposantes dites « super-terres », toutes considérées comme situées dans une zone habitable de leur étoile, et de l’autre côté toutes ces exoplanètes, de loin les plus nombreuses, inhabitables parce que trop proches ou trop éloignées de leur étoile, donc trop chaudes ou trop froides, sans compter les géantes gazeuses qui n’ont pas de sol, où la pesanteur est considérable, genre étoiles ratées comme Jupiter, etc.
Néanmoins, le minimum de super-terres en orbite dans la zone habitable de leur étoile et uniquement pour notre Galaxie serait donc de 64 milliards !
Si l’on considère le principe cosmologique dans son sens le plus large, c’est-à-dire que l’univers ainsi que toutes les lois qui le régissent ne dépendent pas du lieu de l’observateur, et que même au-delà de la Voie lactée la vie à besoin d’eau liquide pour émerger, alors, on peut sans doute faire l’hypothèse que l’univers est homogène et isotrope quelque soit l’éloignement du point observé. Si on se limite au rayon « raisonnable » d’une bulle qui engloberait le groupe local de galaxies, soit environ 5 millions d’années lumière, et si l’âge du système solaire, de l’ordre de 5 milliards d’années est assez standard, la vie aurait pu avoir largement le temps d’apparaître dans le groupe local (c’est ce qui s’est passé sur la Terre) et peut-être même, dans un deuxième temps, de voir également se développer quelques civilisations suffisamment évoluées technologiquement pour qu’elles disposent de moyens d’observations et de communications performants (c’est aussi ce qui s’est passé sur la Terre).
Le groupe local comprend 3 grandes galaxies, la nôtre la Voie lactée, Andromède et la galaxie du Triangle, plus une foule de galaxies naines. Un calcul grossier semble montrer (en 2014) que le nombre total d’étoiles du groupe serait d’environ 635 milliards d’étoiles. En appliquant le principe cosmologique, on pourrait donc déduire en première approximation qu’il y aurait sans doute 7 fois plus d’exoplanètes dans l’ensemble du groupe local que dans notre seule galaxie. On peut donc considérer qu’il y aurait au moins dans le groupe local 450 millions d’exoplanètes minimum de type super-terre situées à une distance de leur étoile compatible avec l’apparition de la vie. Cette extrapolation qui n’est qu’un ordre de grandeur n’engage que moi.
Une telle conclusion, si elle devait se généraliser, pourrait conduire à un paradigme du genre : « La Terre n’est pas le seul endroit dans tout l’univers où la vie existe. » Cependant, les médias semblent jouer une certaine désinformation dans ce domaine en laissant souvent entendre qu’exoplanète égale rencontre du troisième type ! En fait, ils ne semblent pas se comporter objectivement comme devrait être leur mission, mais recherchent le sensationnel à tout prix et préfèrent de loin laisser entendre que : « Des êtres conscients d’eux-mêmes existent partout dans l’univers, sur des milliards d’exoplanètes ». De là à imaginer que cela permettrait d’envisager un quelconque contact… pour eux, il n’y a qu’un pas.
Cependant, si un nombre important d’exoplanètes se trouvaient dans une zone habitable et par chance pas trop éloignées de nous, on pourrait peut-être espérer un jour au moins détecter les signes de la présence d’une civilisation extraterrestre.
Le 7 juin 2014, un 2ième article attire mon attention. Il s’intitule : « Une exoplanète habitable à seulement 13 années-lumière de la Terre ». Il a été publié sur le site de Futura-Sciences. http://www.futura-sciences.com/maga... Ce qui très intéressant, c’est que cette exoplanète (Kapteyn b) tourne autour d’une étoile naine rouge qui aurait l’âge respectable de 11,5 milliards d’années, soit plus du double de l’âge de la Terre. Ce qui aurait effectivement pu laisser tout le temps à une civilisation de se développer… mais aussi de s’autodétruire.
Des planètes de ce genre, proches de nous, ne doivent pas être très rares. Pourtant, le fameux paradoxe de Fermi énoncé en 1950 : « S’ils existent partout, alors où sont-ils donc ? » est toujours vérifié, puisque l’on n’observe aucun signe.
Patatras ! Rien n’est jamais simple. Un 3ième article également publié sur le site de Futura-Sciences, le 26 novembre 2014, prend le contre-pied de tout ce qui vient d’être dit.
http://www.futura-sciences.com/maga... L’article s’intitule : « Les E.T. seraient rares à cause des sursauts gamma ». Un sursaut gamma, c’est un peu comme un rayonnement X, mais de fréquence et d’intensité beaucoup plus élevées, c’est un rayonnement électromagnétique de très haute énergie. Il peut se révéler mortel, même émis très loin de la Terre. Tout dépend de son intensité et de la focalisation du faisceau. Les sursauts gamma ont été découverts dans l’univers depuis la fin des années 1960 et leur l’origine n’est pas évidente (hypernovae, étoile massive s’écroulant en trou noir, collisions d’étoiles à neutrons, etc.). Bref, le problème est donc qu’ils peuvent être si intenses qu’ils sont suffisants pour stériliser une grande partie des astres d’une galaxie pendant suffisamment longtemps pour qu’aucune forme de vie n’émerge. En fait, si la Terre est en danger parce qu’elle peut subir un impact météoritique majeur, comme cela s’est déjà produit plusieurs fois dans son lointain passé, ce n’est rien de ce qu’elle subirait en comparaison de l’effet de sursauts gamma se produisant à proximité de nous, par exemple en raison de l’explosion d’une hypernovae proche. Ce troisième article le précise : « Dans un rayon de 6500 années-lumière autour du centre de notre Galaxie, les chances (?) que soit survenu un sursaut gamma mortel pour les biosphères dans les derniers milliards d’années est de 95%. Au final, 90% des galaxies dans l’univers récent seraient encore le lieu d’un trop grand nombre de sursauts gamma pour qu’une vie évoluée ait eu le temps de se développer. Notre univers semble donc encore trop jeune pour qu’aient pu y apparaître un grand nombre de civilisations intelligentes dans chaque galaxie. Cette dernière conclusion semble décourageante pour les tenants du programme Seti (Search for Exra-Terrestrial Intelligence). » Et semble résoudre le paradoxe de Fermi. Si on ne les voit pas, c’est parce que l’univers est trop jeune, ou que les signaux émis n’ont pas eu encore le temps de nous parvenir. « Toutefois, cette étude fournit aussi une indication pour recentrer les recherches. Jusqu’ici elles ont souvent concerné le centre de la Voie lactée parce que c’est là que devraient se trouver le plus grand nombre d’exoplanètes habitables. Mais pour des E.T. technologiquement développés, il vaudrait mieux chercher dans la bordure de la Galaxie, là où l’évolution de la vie n’a pas été entravée par les sursauts gamma longs. »
Il est intéressant de noter que l’exoplanète Kapteyn b se trouve justement tout au bord de la Voie lactée, dans le halo galactique, endroit idéal d’après certains chercheurs pour l’implantation d’une civilisation hautement développée, qui chercherait un « coin » tranquille.
Dans l’article que j’ai réalisé il y a 4 ans et que l’on peut consulter sur : http://www.polynesia-trilogie.com/s... les conclusions étaient qu’une galaxie sur 10000 devait abriter la vie, au sens d’une vie évoluée, d’une civilisation technologique, alors que l’article ci-dessus conduit plutôt à une galaxie sur dix abritant la vie en général, y compris bactérienne ou microbienne. Qu’il faille observer 10000 exoplanètes possédant une vie bactérienne pour en trouve une seule possédant une vie évoluée ne me choque pas particulièrement.
Comme l’ordre de grandeur du nombre de galaxies dans l’univers observable est de 150 milliards, cela fait quand même pour tout l’univers 15 milliards d’exoplanètes candidates pour la vie. Et si l’hypothèse, fort gratuite, de 0,01% de civilisations pour ces 15 milliards paraît plausible, alors cela fait quand même 1,5 millions de civilisations. Cependant, les distances intergalactiques étant ce qu’elles sont, se chiffrant en millions, en dizaines de millions, voire en centaines de millions d’années-lumière (et même plus), on ne voit toujours pas très bien comment un « contact » pourrait se faire. Le seul et maigre espoir serait de détecter la présence ancienne de quelque chose. Par exemple recevoir un jour, des signaux en provenance d’une exoplanète. Des signaux ayant mis des millions d’années à nous parvenir. Mais pour nous parvenir, si ce n’est pas un fantastique hasard, encore faudrait-il que le faisceau d’ondes ait été volontairement dirigé vers nous, et que la puissance d’émission soit suffisante pour qu’elle permette la traversée de millions d’années-lumière (voire de milliards !) sans trop de dégradation !
Connaissant la folie des hommes, imaginons un projet à la hauteur de leur délire. Ils décident (on se demande bien pourquoi ?) d’envoyer un faisceau d’ondes cohérentes avec un laser (pour éviter une trop grande dispersion) vers une planète perdue d’une étoile ordinaire située au bord d’une galaxie quelconque, à 25 millions d’années-lumière de la nôtre. C’est un défi ! Pour mémoire, notre plus proche voisine, la galaxie d’Andromède, n’est qu’à (!) 2,5 millions d’années-lumière de nous… Evidemment, ces hommes ne sont pas complètement idiots. S’ils décident d’envoyer un message aussi loin et dans une direction bien déterminée, c’est qu’ils pensent qu’il pourrait aboutir dans l’environnement de l’étoile X de la galaxie Y, où ils savent que la vie a eu toutes les chances de se développer. Pourquoi ? … parce qu’ils ont bien observé qu’à cet endroit très calme le risque est nul qu’il ait été affecté par des sursauts gamma pendant des millions d’années ! Evidemment, ils savent parfaitement que leur message n’arrivera que dans 25 millions d’années. Donc, on ne sait pas pourquoi il enverrait ce message et on ne sait pas du tout ce qu’il pourrait comporter, sauf des infos un peu sottes du genre de celles que nous avons placées il y a 40 ans sur les sondes Pionneer 10 et 11, actuellement sorties du système solaire certes, (mais toujours si proches de nous) infos (disons-le parce que le test a été fait !) que d’éminents scientifiques humains ont été incapables de décoder… mais tout le monde le sait les E.T. sont plus intelligents que nous ! Bref, malgré tout ça, ils se disposent à le faire ! Dans le projet, il manque le réglage de la puissance d’émission du laser. Il faut quand même que les photons émis soient reçus à une distance de 25 millions d’années-lumière ! Or, il se peut que le calcul montre que la puissance nécessaire soit de l’ordre de celle émise par le Soleil ! Le projet fut arrêté pour des raisons de coûts un peu excessifs !
Je m’interroge. Supposons que des E.T. extra-galactiques aient l’intention de nous envoyer un message. Ou bien, ils se rendent compte comme nous que c’est impossible parce que cela ne sert à rien, nous sommes trop loin, le message arrivera alors que notre civilisation aura peut-être disparu et la leur également, et de toute façon ça coûte trop cher, donc ils ne le font pas. La preuve, nous ne recevons rien. Ou bien, ils se disent que ce serait vraiment intéressant de communiquer avec une civilisation extra-galactique aussi évoluée que la leur, qui aurait comme eux les moyens de moduler l’émission de son étoile, mais ça c’est bien trop difficile pour nous ! Donc, nous on ne les intéresse pas. Ils envoient le message ailleurs. La preuve, nous ne recevons rien. c.q.f.d.
Alors quel nouveau paradigme ? Depuis Copernic la Terre n’est plus le centre du monde. « Est-ce qu’un jour elle ne sera plus l’unique… … centre de la vie ? » … centre d’une civilisation qui se croit évoluée ? » … centre d’une vie qui pourrait conduire à une civilisation évoluée ? »
Finalement, il paraît raisonnable de penser que tout dialogue avec une forme d’intelligence extra-terrestre sera impossible et comme disait Pascal déjà en 1669 : « Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie ».
Cependant… Puisque les medias adorent passer facilement de la détection d’exoplanètes à l’identification de civilisations extraterrestres, n’hésitons pas à aller plus loin sachant que la réalité peut parfois dépasser la fiction.
On pourrait par exemple imaginer un autre changement de paradigme, l’émergence de « quelque chose » permettant de s’affranchir des espaces infinis… quelque chose ressemblant au RHET (Réseau Hyper Espace-Temps) reposant sur le PACQ (Principe Anthropique de Conscience Quantique) utilisé par les iH (intelligences Humaines) du 51ième siècle dans la trilogie Polynesia… http://www.polynesia-trilogie.com/s... Mais si dans ces conditions tout devient possible, le meilleur comme le pire, alors prenons garde ! Car à force de clamer : « Hou ! Hou ! Nous sommes là ! » ils pourraient nous entendre ! Ils pourraient nous remarquer ! Ils pourraient trouver que la Terre a des ressources intéressantes… de l’eau, puisqu’elle est bleue ! Et quand on sait comment se terminent en général les chocs de civilisations…
Aujourd’hui, certains astrophysiciens très sérieux et très connus estiment, comme Stephen Hawking, qu’il n’est peut-être pas très judicieux de tout faire pour signaler qu’ici-bas, sur la planète bleue, il y a de la vie ! Et surtout qu’il y a de l’eau !!